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Des services canadiens de formation médicale améliorent les soins de santé partout dans le monde

Le système de soins de santé du Canada est réputé pour son excellente intégration de la recherche multidisciplinaire dans la pratique clinique, ses normes élevées de soins et son approche uniforme de la formation et de l’accréditation des professionnels et des établissements de soins de santé. La combinaison de ces éléments aide à expliquer pourquoi des milliers de ressortissants étrangers sont formés par des experts et des enseignants canadiens du domaine de la santé chaque année.

Les professionnels et entrepreneurs en soins de santé continuent d’accroître la qualité et l’accessibilité de leur formation médicale en intégrant de nouvelles utilisations des technologies existantes et de celles qui se font jour, et en développant de nouvelles idées.

CAE Santé

Fondée en 1947, l’entreprise CAE a d’abord connu la réussite dans l’équipement de communication et les simulateurs d’aéronefs. Grâce à sa détermination à toujours faire preuve d’innovation, l’entreprise est devenue un chef de file de la formation et de l’élaboration de solutions de soutien opérationnel dans divers secteurs, y compris celui des soins de santé. L’entreprise, qui mène des activités dans plus de 35 pays, compte actuellement plus de 10 000 employés œuvrant dans plusieurs domaines.

Eric kFortin
Erick Fortin, directeur de l’ingénierie, de la recherche et du développement et de la gestion de programme pour CAE Santé


Hélène Gagnon
Hélène V. Gagnon, vice‑présidente principale des affaires publiques, des communications mondiales et de la responsabilité sociale d’entreprise de CAE

« CAE a réussi dans le secteur des soins de santé en tirant parti de son expertise pour former les pilotes, a expliqué Erick Fortin, directeur de l’ingénierie, de la recherche et du développement et de la gestion de programme pour CAE Santé. L’une des principales raisons pour laquelle les voyages aériens sont sûrs est que les pilotes sont formés à l’aide de simulateurs, ce qui leur permet d’apprendre à communiquer efficacement et à prendre des décisions judicieuses lorsqu’ils se trouvent dans des situations stressantes et difficiles. La formation que nous offrons aux travailleurs de la santé utilise essentiellement la même approche. »

Parallèlement aux technologies numériques, les produits et services de CAE sont devenus plus fonctionnels et perfectionnés. Aujourd’hui, l’entreprise développe un large éventail de technologies de simulation et de système de formation pour des clients partout dans le monde.

« Nous considérons le Service des délégués commerciaux (SDC) du Canada comme un partenaire précieux, a indiqué Hélène V. Gagnon, vice‑présidente principale des affaires publiques, des communications mondiales et de la responsabilité sociale d’entreprise de CAE. J’ai collaboré personnellement avec le SDC à un projet de dispositif médical et le SDC s’est avéré un atout majeur en nous aidant à établir les bons contacts dans des pays stratégiques et des marchés pertinents. »

L’innovation continue de stimuler la réussite de l’entreprise. Le plus récent simulateur en soins de santé de CAE, par exemple, comprend des mannequins qui peuvent afficher une imagerie en trois dimensions de l’anatomie humaine. À l’heure actuelle, l’attention d’Erick Fortin est principalement centrée sur l’intégration de la simulation, d’exercices pratiques et de données en temps réel.

« À mesure que nous formons des personnes, nous recueillons et analysons de manière continue les données sur la façon dont les personnes apprennent, a précisé M. Fortin. Ces données nous permettent d’améliorer davantage nos technologies de formation, ce qui a pour effet d’améliorer les compétences des travailleurs de la santé. Nous sommes tous gagnants. »

Collège royal international du Canada

Le Canada est réputé sur la scène internationale pour l’excellence de son système de soins de santé. L’un des principaux facteurs de cette excellence est la qualité exceptionnelle de la formation que reçoivent continuellement les médecins canadiens. Un nombre croissant de fournisseurs de soins de santé partout dans le monde tirent parti de cette formation, en partie grâce à l’exportation de programmes de formation par le Collège royal international (CRI) du Canada.

Le Collège royal international fournit des produits et services de formation adaptables qui permettent d’améliorer la pratique de la médecine dans le monde entier. Le Collège royal international est une organisation à but non lucratif et l’organisme de passation de marchés du Collège royal des médecins et des chirurgiens du Canada (CRMCC), l’association professionnelle nationale qui supervise la formation médicale des spécialistes. Le Collège royal international, qui mène des activités dans plus de 30 pays, établit des collaborations universitaires avec des organisations et des établissements à l’étranger qui cherchent à améliorer la qualité de l’enseignement et de la formation en médecine aux cycles supérieurs. Pour assurer la mise en œuvre de ses programmes, le Collège royal international compte à la fois sur son personnel et les « associés » du CRMCC, qui sont des médecins spécialistes accrédités et reconnus comme des experts dans leur domaine.

Craig Ceppetelli
Craig Ceppetelli, directeur exécutif (par intérim) du Bureau de la collaboration internationale du CRMCC

« Notre effectif compte environ 1 000 associés, a indiqué Craig Ceppetelli, directeur exécutif (par intérim) du Bureau de la collaboration internationale du CRMCC, et jusqu’à 350 d’entre eux participent activement à nos activités à l’international chaque année. En raison de la pandémie et des restrictions imposées sur les déplacements, nous offrons à l’heure actuelle nos programmes en ligne. »

La pierre angulaire de la formation du CRMCC — et de l’expertise du Canada en formation médicale — est CanMEDS, un cadre exclusif fondé sur des recherches empiriques, des principes pédagogiques et des consultations auprès d’intervenants. CanMEDS établit et décrit les rôles que doit remplir un médecin pour répondre efficacement aux besoins des patients. Un médecin compétent ne doit pas seulement être un expert médical, mais également un communicateur, un collaborateur, un gestionnaire, un promoteur de la santé, un érudit et un professionnel. Adopté en 1996 et mis à jour deux fois depuis sa création, CanMEDS est le cadre de compétences des médecins le plus largement accepté et utilisé dans le monde.

« Le Collège royal international vise à renforcer les capacités des éducateurs locaux dans les autres pays, a ajouté M. Ceppetelli. CanMEDS combiné à une formation de sensibilisation à la culture pour nos associés nous permet d’accomplir cet objectif tout en respectant les contextes locaux. »

Le Collège royal international collabore depuis longtemps avec le Service des délégués commerciaux (SDC) du Canada pour réussir dans des marchés à l’étranger. Le SDC fournit divers types de soutien, notamment la communication de renseignements sur les règlements et les systèmes de santé locaux et la mise en contact avec des clients potentiels.

« Notre modèle consiste à établir des relations à long terme et à favoriser les améliorations continues dans l’enseignement et la formation en médecine », a préciséM. Ceppetelli.

Un contrat signé en 2019 avec l’organisation responsable de la formation et de l’accréditation des médecins au Minas Gerais, un État au sud‑est du Brésil, met en évidence la démarche du Collège royal international. La première phase du contrat comprend une évaluation des besoins, majoritairement réalisée au moyen d’ateliers virtuels en raison de la pandémie. Cinq associés du CRMCC collaborent avec environ 45 facultés au Brésil qui supervisent la formation de centaines de médecins résidents. Plusieurs patients brésiliens profiteront au bout du compte de ce projet.

« L’amélioration continue est un aspect crucial de la médecine, a conclu M. Ceppetelli. Le Collège royal international aide les médecins à accéder à l’enseignement et à la formation dont ils ont besoin pour devenir de meilleurs praticiens. »

MDBriefCase

MDBriefCase Group Inc. aide également les professionnels de la santé partout dans le monde à devenir de meilleurs praticiens. Située à Toronto, en Ontario, l’entreprise se spécialise dans les programmes de perfectionnement professionnel continus, en ligne et agréés, adaptés à des marchés internationaux précis. Environ 270 000 professionnels de la santé au Canada, en Europe, en Australie, en Afrique et au Moyen‑Orient sont abonnés à la formation en ligne de MDBriefCase.

Janet Kimura
Janet Kimura, vice‑présidente principale de MDBriefCase

« À l’échelle internationale, nous collaborons avec des établissements et des partenaires locaux pour adapter le contenu agréé aux besoins des praticiens de la santé », a indiqué la vice‑présidente principale de MDBriefCase, Janet Kimura.

La plupart du contenu en ligne de l’entreprise est gratuit grâce à des partenariats établis avec des entreprises marraines, les autorités sanitaires, les organismes de réglementation, des sociétés professionnelles et des fabricants. Dans les dernières années, MDBriefCase a grandement étendu ses activités au Moyen-Orient, en partie grâce au soutien du Service des délégués commerciaux (SDC) du Canada.

« Le SDC connaît les acteurs sur le terrain dans chaque pays et région, a expliqué Mme Kimura. Par exemple, à l’occasion d’Arab Health à Dubaï — le plus important salon professionnel du domaine de la médecine dans la région — des délégués commerciaux nous ont mis en contact et jumelés avec des partenaires potentiels ayant des objectifs semblables pour améliorer la prise de décision et les soins aux patients dans le domaine de la santé. »

Pendant la pandémie, Mme Kimura a remarqué une légère augmentation de la demande de formation en ligne.

« À cause de la COVID‑19, de nombreux partenaires se sont sentis soit paralysés, soit stimulés, a‑t‑elle souligné. En les aidant à tous se sentir stimulés, nous avons fait nos preuves à titre de partenaire fiable dans le domaine de la santé. De plus, nous avons créé davantage d’occasions de produire des effets positifs sur les résultats pour les patients qui dureront au‑delà de cette période hors du commun. »

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