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#HOTCS : Emily King, Halifax

Andrew Smith

«L’AECG permet réellement d’ouvrir des portes au secteur canadien des technologies océaniques, particulièrement en ce qui a trait aux normes et aux règlements. Par exemple, lorsqu’il est question d’instruments scientifiques ou de capteurs de très grande précision, les normes et les calibrations sont extrêmement importantes, et il pourra être très difficile pour les entreprises canadiennes de faire une percée sur le marché européen si les normes ne sont pas uniformes. À mesure que les dispositions sur les normes et la certification seront précisées dans l’AECG, il y aura des régimes plus robustes permettant de faire passer la technologie d’un marché à l’autre. Cela aura un énorme effet bénéfique pour le secteur canadien des technologies océaniques.

« Les technologies océaniques concernent de nombreuses industries. Il peut s’agir d’aquaculture, de transport maritime, de ressources marines renouvelables (ce qui comprend la récolte des ressources de la mer, mais aussi les énergies renouvelables marines, comme l’énergie marémotrice), d’instrumentation océanographique, de l’observation des océans, etc. Les produits des technologies océaniques sont aussi recherchés dans l’industrie du pétrole et du gaz extracôtiers, par exemple en Scandinavie et au Royaume-Uni. Les entreprises canadiennes peuvent aussi découvrir des occasions d’affaires en Allemagne et dans la région de la mer Méditerranée, où l’on trouve d’importants centres d’excellence en matière de technologie océanique. »

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